Thailande

On aurait dû partir en Argentine. On avait acheté un guide de conversation en argentin, un assimil espagnol avec CD pour apprendre les bases, on a potassé plusieurs brochures de voyagistes, bavé sur les photos. Et puis pas de bol ! Y avait pas le parcours qu'on voulait, certains séjours étaient complets, impossibilité de séparer le séjour du vol sauf à payer des suppléments hors normes. Alors bon. Vu le peu de temps que j'avais avant de repartir à Shanghai, on s'est décidé pour la Thailande !

Résultat : on n'est pas déçus. C'était fabuleux. Voici donc en images ce que nos yeux touristiques ont pu voir durant deux semaines afin que vous puissiez vous faire une idée assez vague de ce qu'il y a à voir. J'ai pris approximativement à peu près 1264 photos. Vous ne les verrez pas toutes, certaines sont ratées, trop sombres, floues ou juste inintéressantes. Vous ne verrez que les photos informatives, il en faut, et celles plus artistiques laissées à votre propre appréciation.

Bangkok en elle-même n'est pas une ville extraordinairement belle mais il y a des arbres un peu partout, ce qui la rend un peu moins triste. Photo informative prise depuis le bus qui venait de l'aéroport.

Le premier site visité en ville fut le temple Wat Phra Kaew ou temple d'émeraude dont on voit ici les principales tours. La grosse pointe plaquée à la feuille d'or fin c'est Phra Sri Rattana Chedi. Complètement à droite, la tour en forme de doigt s'appelle un prang. Le truc vert à gauche c'est un lampadaire.

La statue verte de peur à gauche c'est Dhosa Kiridhorn, moitié éléphant, moitié démon.

Là en bas on découvre un photographe pris en flagrant délit de posture accroupie.

Jolie statue d'éléphant. Notez au passage la taille des oreilles. Nous sommes bien ici en présence d'un éléphant d'Asie.

Un nénuphar aux feuilles pliées dans une vasque. Une curiosité locale ?

Là c'est la relève de la garde du Grand Palais. Le Grand Palais est situé juste à côté du temple. Le garde de derrière ajuste l'habit de son remplaçant avec minutie et doigté. Ce petit cinéma a bien dû prendre au moins cinq bonnes minutes au grand plaisir des photographes amateurs de sensations lentes. L'éléphant perché sur son socle n'a pas bronché durant tout le spectacle.

La porte de sortie empruntée régulièrement par des parapluies colorés sur pattes.

La suite après les fêtes. Là on va partir en Corse.

Joyeux Noël et Bonne année tout le monde !

Automne

Ce matin je me suis arrêté au bout de la piste cyclable qui mène au bureau. Je me suis retourné car je trouvais l'éclairage sympa pour un matin d'automne. Et ça donne ça.

Vive le vélo. Vive l'automne. Vive Montpellier. Vive la photo. Et vive moi aussi parce que c'est pas tout mais hein faut penser à soi quand même un peu non ?

Cirrus

De très jolis cirrus dans le ciel de Montpellier.

Escargot

Un petit escargot pris en flagrant délit d'escalade de mur.

Une image pour illustrer le fait que ce blog va, je l'espère, reprendre vie, petit à petit, en même temps que je reprends des forces, suite à une fin de projet un peu beaucoup épuisante.

A bientôt.

Chuis rentré !

Ah ben ça y est. Après trois séjours et un total de 16 semaines, me voilà de retour à Montpellier. Je vous demande encore de m'excuser pour l'absence de mots et de photos mais le travail à Shanghai a vraiment été très très intense.

Merci d'avoir été patients.


Non ce blog n'est pas comme ce vieux cadenas rouillé, il vit encore, et pour longtemps j'espère !

Over time

Bonjour tout le monde,

Vous devez vous demander ce qui se passe pour que ce blog soit si vide depuis quelque temps... Et bien devinez... Je suis encore à Shanghai, pour la troisième fois cette année. Et comme durant mon court séjour en France entre deux voyages j'étais soit loin d'une connexion internet soit en train de préparer les vacances de l'après projet, je n'ai malheureusement pu ni écrire un petit mot ni poster une photo.

Je travaille actuellement plus de 10 heures par jour six jours sur sept. Je vous prierais donc d'être indulgent avec moi.

Merci d'avance et à bientôt.

Shanghai 2 le retour

Allez hop, six semaines de plus à Shanghai. Les photos sont là:

24h Solo

Une chauteuse perchée sur son piédestal à roulettes est venue nous annoncer place Jean Jaurès la programmation de "24H Solo" à Sète samedi et dimanche prochain. Il s'agit d'une rencontre musicale durant laquelle se relaient des musiciens, danseurs et artistes pendant 24H.

Ca a fait fondre le café liégeois que j'ai été obligé de boire à la paille. C'est malin tiens !

Et puis de toute façon je serai dans l'avion pour Shanghai... 11h solo en classe économique que ça s'appellera !

Montpellier avant l'orage

Il y a quinze jours j'étais en vacances, et c'était bienvenu après mes cinq dures semaines de travail intensif à Shanghai ! Vers 17h il y avait un bel éclairage de ciel sombre et de soleil rasant d'avant l'orage. J'ai donc pris mon appareil d'une main et mon parapluie de l'autre et je suis sorti faire un tour dans l'écusson, la vieille ville.

Une cocotte et un ovni rue des Trésoriers de la bourse

Place Saint Côme

Un hammam

Une entrée privée

Eglise Saint Roch

Eglise Saint Roch et les martinets en quête d'insectes

A côté de l'église

Toujours la même église

Petite rue perpendiculaire (ce coin m'inspire on dirait)

La fontaine de la place Saint Roch (derrière l'église)

La faculté de médecine

Demoiselle dans une rue déserte

Méduse et langues de canard

Ah parlons un peu de choses plus agréables que de publicité, de pollution ou de consommation électrique à outrance.

La nourriture chinoise.

Je n'aurais pas la prétention d'avoir tout essayé, tout goûté, tout découvert en seulement cinq semaines. Certaines cartes de restaurant demandent à elles seules plusieurs mois en venant tous les jours pour tout commander, tellement elles sont impressionnantes !

Pour le touriste étranger que je suis, deux choix s'offrent à moi. Soit je ne commande que ce que je connais, soit je goûte à des plats étranges.

Pour les plats classiques, on trouve du boeuf au saté, du poulet au curry, du canard laqué ou du porc aigre-douce accompagné de riz blanc ou de piments verts ou rouges. Si on aime le riz, on pourra tenter toutes sortes de riz frits aux oeufs, à la viande ou aux légumes. Fameux. Moi j'aime bien les soupes. Pour moins de 1,50 euros je peux m'offrir une grosse soupe de nouilles aux boulettes de boeuf ou aux crevettes. C'est parfait pour le soir. Ca remplit bien le ventre sans trop apporter de callories.

Les gourmands pourront se délecter de quelques raviolis frits. C'est un vrai régal !

Pour les aventuriers, certains restaurants proposent des plats un peu moins traditionnels. J'ai ainsi goûté de la méduse et des langues de canard, mais j'ai par contre échappé aux scorpions frits qui, parrait-ils ont goût de chips. La méduse est préparée en lanières. C'est un peu caoutchouteux et insipide. Les langues de canard sont présentées avec ce que je crois être une section de la gorge, je ne saurai trop dire. C'est un peu gélanineux et sans grand intérêt gustatif, d'autant plus qu'il n'y a presque rien à manger. C'est juste amusant et ça fait parler...

Langues de canard au BaoLuo, Fumin lu.

A part ça j'ai évité les MacDo et les KFC qui fleurissent partout en ville. J'ai juste fait une exception en allant déguster un wooper au Burger King. J'adore les woopers ! Et quand le Burger King du centre commercial de Montreuil sous Bois a disparu au profit d'un MacDo, j'étais vraiment très triste (c'était à l'époque où j'étais à Paris). C'est donc avec une joie non dissimulée que je suis allé commander mon wooper.

On trouve aussi un grand nombre de restaurants japonais. La chaîne Ajisen (mille goûts) est ma préférée. Un cuisine simple, des plats de riz, des soupes, des raviolis frits (Mmmm), des milk-shakes au thé vert. Dans le grand centre commercial près de mon hôtel on trouve aussi un très bon teppanyaki. Pour 5 ou 6 euros, un chef vous prépare toutes sortes de poissons, de viande, de riz et de légumes sur une plaque chauffante placé devant lui. Sympa, convivial et sortant de l'ordinaire. Et pas cher, comme un peu partout a Shanghai.

Teppanyaki au centre commercial, Zhaojiabang lu

En conclusion, je dirai qu'on trouve de tout a Shanghai, des restaurants très traditionnels où la vraie cuisine chinoise domine, et ce n'est pas du tout celle que l'on trouve en France. On trouve aussi des grandes chaînes étrangères de fast-food dont ma préférée est Ajisen, et qui permet de manger rapidement des plats équilibrés. On trouve aussi des bouibouis, je n'en ai pas parlé, qui servent de la cuisine très simple et très peu chère, mais là c'est un peu l'aventure car les cartes n'y sont qu'en chinois. Dans ce cas-là la solution est de bien mémoriser les caractères comme boeuf, soupe, poulet, boulettes ou coupé en lanières. Ca aide grandement !

Bon appétit !

Plat de sushis au restaurant japonais Genji, Huaihai lu.

Restaurant le Baoluo, aubergines confites, boeuf en dés, canard laqué...

Baoluo, rouleaux de légumes et jambon, citrouille, navets à la crème.

Parc de Hangzhou, poisson grillé aux herbes et sauce soja, riz blanc, thé vert

LouWaiLou, meilleur restaurant de Hangzhou, Turbo, lotus au sucre roux, porc braisé

Je consomme, je consomme

Suite de mes réflexions sur cette Chine en pleine mutation...

Les Chinois découvrent le capitalisme, et par là même la consommation à la mode occidentale. Les grands centres commerciaux explosent. D'immenses panneaux publicitaires prônent le dernier processeur Intel ou le dernier gloss de Guerlain. Des écrans à diodes gigantesques fleurissent en haut des buildings et diffusent non stop leurs publicités. Nous sommes constamment submergés par des messages publicitaires. Sur le Bund, au bord du Huangpu, se sont des bateaux sur lesquels sont fixés ces écrans, qui passent et repassent sans arrêt pour diffuser leurs spots aux passants. On les trouve également aux arrêts de bus, dans les stations de métro et dans les rames elles-mêmes !

Et ça fonctionne ! Tout le monde a son petit baladeur mp3 dans les oreilles ou son téléphone portable dernier cri dans la poche, son ordinateur personnel, et la télé à écran plat à la maison aussi ?

Finalement, on se plaint qu'en France la publicité est trop présente, mais heureusement pour nous, elle reste coincée dans des affiches 4x3 et non omniprésente sur des écrans de télé géants, mais pour combien de temps encore ?...

Et les vélos ?

Les chinois n'ont pas encore complètement troqué leur vélo contre une voiture. Et c'est tant mieux, quand on sait qu'une ville comme Shanghai compte 20 millions d'habitants. On croise donc encore un grand nombre de vélos dans les rues. Les gens un peu plus riches peuvent s'offrir un vélo électrique. C'est très bien, ça va assez vite et c'est très silencieux. Les gens encore un peu plus riches peuvent acheter un scooter, toujours électrique, ou un scooter à essence, mais c'est plus rare. Je n'ai pas vu de motos tiens !

Globalement le traffic est assez silencieux. Pas de mobylettes pétaradantes, pas de motos vrombissantes, pas de moteurs diesel cliquetants. Reste le problème du klaxon, bien plus présent que dans les villes françaises et trop souvent utilisé inutilement, à mon goût en tout cas.

L'air de la ville n'est pas si pollué par le traffic automobile qu'on pourrait le penser. Mise à part les bus et les camions, les voitures roulent à 99% à l'essence (j'ai dû voir une ou deux voitures diesel). Peu de particules donc par rapport à la France où l'air des grandes villes pique les yeux et le nez. Ici la pollution vient principalement des grandes centrales électriques au charbon qui génère une brume permanente sur toute la Chine. J'ai lu qu'il se construisait une centrale toute les semaines. Hallucinant !

Pour en revenir aux voitures, je rajouterai qu'il faut être extrèmement riche pour rouler à Shanghai. Le prix de la plaque d'immatriculation équivaut à la moitié du prix du véhicule. Et quand je croise des grosses berlines genre A6 ou des gros 4x4 genre Porsche Cayenne, dont le prix importé correspond déjà au double d'un tarif français, on a une petite idée de la taille du portefeuille du propriétaire...

Que dire d'autre ? Le Chinois moyen qui voit son pouvoir d'achat augmenter va lui aussi avoir envie de changer son mode de transport. Il va donc troquer un vélo ou un ticket de bus ou de métro par un vélo électrique, un scooter ou une voiture. Même électrique, un vélo consomme... du charbon, ne l'oublions pas...

Tiens quand je parle de consommation électrique... Ca sera abordé dans un prochain billet.

Conduite a Shanghai

J'ai rempli le site flickr.com avec le nombre maximum de 200 photos autorisées par mois. Je vais maintenant vous faire part de mes impressions sur la vie ici à Shanghai.

Il y a huit ans lors de mon précédent voyage, ce qui m'avait le plus surpris avait été la conduite des chauffeurs de taxi. Tous conduisaient en sous-régime en passant leurs vitesses beaucoup trop tôt. Ils étaient en quatrième à 30 à l'heure !

Cette année, j'ai remarqué qu'ils le faisaient un peu moins. Par contre ils conduisent plus vite et abusent tous du klaxon. D'ailleurs le klaxon est utilisé essentiellement pour indiquer une prise de priorité. Il n'y a pas de priorité proprement dite. C'est celui qui passe en premier, ou qui force le passage qui passe. Le piéton, en bas de la hiérarchie circulatoire n'est rien.

Les feux. Quand le feu est rouge, les véhicules s'arrêtent. Sauf ceux qui tournent à droite. Donc un piéton qui traverse doit faire attention aux véhicules qui viennent de sa gauche pendant la première moitié du trajet et à ceux qui viennent de droite pendant la deuxième moitié. Etre piéton en Chine demande donc une extrême vigilance.

La vitesse. J'y reviens. Sur le trajet aéroport-Shanghai, le chauffeur roulait à plus de 110 km/h, doublait à droite en klaxonnant, à gauche en klaxonnant, passait entre un bus et un camion, toujours en klaxonnant. Et moi j'étais à l'arrière, sans ceinture à cause de l'attache située sous la housse, accroché au siège de devant, en train de prier pour que tout se passe bien... En ville c'est un peu pareil aussi. Le klaxon étant utilisé pour indiquer qu'on passe, point.

Bref, une ville de fous dangereux, avec, je dois le reconnaître très peu d'accrochages, et je n'ai vu aucun accident.

Les photos de Shanghai

Ca y est enfin ! Les photos de Shangai sont en ligne !

Elles sont la.

Il m'a ete impossible de les transferer sur mon blog ou sur un site web par les moyens classiques. J'ai du utiliser le mail. Mais la encore il faut respecter un quota que je n'ai pas encore pu determiner d'un certain nombre de fichiers par mail. Mais bon, elles sont la.

Allez-y donc y jeter un coup d'oeil.

Bon visionnage.

Une paire de fesses... roses !

Ce n'est pas encore Shanghai, mais je n'ai pas résisté à l'envie de prendre cette photo, alors que j'étais assis à une table dans un restaurant hippopotesque à Roissy Charles de Gaulle samedi midi.


Sinon, je suis désolé d'être si long à poster des photos, mais le pare-feu ici est très restrictif, alors j'ai dû trouver un autre moyen d'envoyer des photos. Ce n'est pas encore génial et ça demande encore quelques manipulations, mais j'ai pu utiliser le mail. Plus d'infos sur flickr.com.

Visa

Avant de rendre mon passeport pour en faire refaire un tout nouveau tout neuf, j'ai scanné les pages utilisées, par sentimentalisme.

Ici c'est la visa pour la Chine que j'ai eu en 1999 quand j'ai passé 10 jours à Shanghai pour former une équipe de programmeurs.


Là c'est le nouveau Visa. Il est beau hein !

Bonus rose

Avant de partir pour Shanghai (je décolle demain) j'avais envie de vous faire un petit coucou par l'intermiaire de ce charmant groupe de filles aux cheveux roses rencontré samedi dernier place de la Comédie.


Merci les filles !

Fontaine je ne te prendrai jamais en photo

Comment s'amuser avec un appareil photo ?

Réponse :

Photo 1 : prise de vue en mode automatique. Je laisse faire la puce de réglage. Diaphragme ouvert à fond (F2.8), temp de pause réduit de 1/5e de secondes.



Photo 2 : prise de vue en fermant manuellement le diaphragme. La puce de réglage me donne un temp de 6 secondes.



Dans les deux cas j'ai posé l'appareil photo sur la margelle de la fontaine. Hier soir 22h40.

Laquelle préferez-vous ?
...

Punaise !

Hier à 16h, petite pause dehors pour prendre l'air. Petit tour autour des romarins qui se trouvent devant l'entrée. Et au détour d'une branche, une jolie punaise des baies (Dolycoris baccarum). Son dos est rouge, mais avec la lumière du soleil on se rend pas trop compte. Par contre, qu'est-ce qu'elle est poilue hein !



Là juste avant de s'envoler.

En allant au boulot

Ce matin je suis parti avec mon appareil en me disant que j'allais peut-être rencontrer des choses intéressantes. Alors j'ai poussé la chance en m'arrêtant près du lac de l'esplanade.

On pouvait y voir des canards colvert prenant leur bain et s'ébrouant ensuite. L'herbe avait été mouillée par les arrosages automatiques.


Un peu plus loin, après les Aubes, le rond point de Castelnau et le pont sous la voie ferrée on passe par une jolie piste cyclable qui longe cette même voie ferrée. Ce que l'on voit est le chemin du retour. Dans l'autre sens j'aurai été à contre-jour.


Vingt mètres plus loin je me suis encore arrêté pour prendre ce gentil coquelicot (mesdames).


Et juste à côté il y avait cette petite coccinelle rouge sur fond vert. Ce n'est qu'une fois sur mon ordinateur que j'ai découvert qu'il y avait de la rosée sur sa carapace.


Ca c'est un gros alien rouge perdu dans les herbes. Il semblait m'observer sans bouger, sans rien dire. Je crois que j'ai eu de la chance...


Bonne journée !

Pivoine

Une jolie pivoine. Je sais pas vous, mais moi, j'adore acheter des fleurs. Ca égaye tout de suite un appartement.


Ah oui, la photo a été prise en posant l'appareil sur un trépied tout neuf que j'ai acheté exprès pour la Chine.

Ronron

Aaah la suprême volupté d'être un chat...


Bon dodo et bon weekend !

Insectes printaniers

Dimanche dernier c'était Pâques et il a fait un temps superbe. On était chez ma soeur à Nîmes et j'ai profité de la pause digestion - trop de chocolat - pour faire un tour dans le jardin avec mon appareil photo...

Là une abeille les poches pleines de pollen.


Là une cétoine dorée se goinfrant de pistils croustillants.


Là une grosse mouche toute poilue.



Bon appétit !